Oubliez vos habitudes françaises, au Portugal, le système de santé est totalement différent. La sécurité sociale portugaise n’intervient jamais dans la médecine privée. Les deux systèmes sont totalement indépendants. Lequel choisir ?Pour quelles pathologies ? À quel âge ? Le Lisboète Magazine vous propose douze pages de comparatifs, de conseils, de témoignages et d’expertise, pour mieux prendre soin de votre santé.
Tous les étrangers, résidents, expatriés et même touristes au Portugal, bénéficient des mêmes droits que les Portugais. L’accès au service public est gratuit, mais totalement saturé. Les centres de santé de quartier et la plupart des hôpitaux publics, ne sont plus en mesure de répondre aux demandes dans un délai rapide. Seule l’urgence vitale est désormais traitée. Pour cette raison, la plupart des expatriés au Portugal contractent des assurances privées qui permettent d’obtenir rapidement un rendez-vous de consultation chez un médecin. Car si en France la sécurité sociale participe au coût des soins dans les établissements conventionnés ou pas, au Portugal, elle n’intervient jamais hors du service public. Et de ce fait, les tarifs des prestations médicales – non soumises à des barèmes – sont deux fois plus élevés. Autre particularité, quasiment toutes les assurances complémentaires imposent un reste à charge, y compris pour l’achat de médicaments et posent des conditions drastiques aux remboursements, en particulier en matière d’optique et de dentaire. Un capharnaüm médical que le Lisboète Magazine décrypte pour vous à travers un dossier comparatif des assurances santé (qui ont accepté de répondre à notre enquête), des témoignages, des conseils et une liste des principaux centres médicaux de la capitale.
Soutenez les auteurs et abonnez-vous au contenu.
Ceci est du contenu premium. Abonnez-vous pour lire l'article intégral.
